{ Isabella ; Twilight.Fascinating [U.C]

{ Isabella ; Twilight.Fascinating [U.C] Twi77

Velvet.Skin & Twilight.Fascinating

• Fiche d'Identité

Nom : Swan.
Prénom(s) : Isabella Mary.
Surnom ou diminutif : Si il y a bien quelque chose que Bella déteste c’est qu’on l’appelle par son prénom en entier. Ca fait vieillot, et ça sonne très laid dans les oreilles de la jeune femme. Alors s’il vous plaît, ça sera Bella.
Date de naissance : Mademoiselle Swan vit le jour un 13. Un Samedi 13 septembre…C’était une jour disons pluvieux, pas vraiment un jour pour une naissance ! Mais c’est ce qui est arrivé, un bébé tout mignon tout plein an l’an 1990.
Age : La belle a tout juste 18 ans, et pour elle c’est déjà trop. Parce que c’est plus que celui qu’elle aime.
Lieu de naissance : Bella est née en Californie.
Nationalité : Américaine de pure souche.
Occupation : Bella est une élève au lycée de Forks, mais à ses heures perdues elle travaille au magasin de la mère de Mike avec lui même.

• Profil psychologique

Caractère : Bella…Bella Swan n’est pas ce genre de personne difficile à cerner. Ni à berner d’ailleurs. Oh je vous coupe tout de suite, ce n’est pas une fille béquasse et naïve. C’est juste qu’elle peut vous croire jusqu’à une certaine limite…On pourraît dire qu’elle est plus gentille que naïve. Et ça serait la vérité. Bella est le comble de la gentillesse, elle a cette obsession de faire passer le besoin des gens qu’elle aime avant elle. Car elle déteste voir les gens dans le besoin, c’est comme ça, et vous ne la changerez pas.

Bella est une jeune femme très vive, ou plutôt devrais je dire était. Avant le départ de Edward, elle souriait pour un rien, le matin, se levait la tête dans ses pensées mais dès son petit déjeuner avalé, elle pouvait faire le tour de la ville plus vite que sa vieille voiture. Evidemment avec beaucoup de chutes, car Bella est une maladroite de première, chaque petite chose qui peut entraîner une chute, vous entailler le doigt ou vous casser le nez est pour elle, et Dieu seul sait le nombre de fois où elle a failli rester à l’hôpital…Est inimaginable. Elle évite toutes les salles de sport, pas parce qu’elle déteste ça, mais parce qu’elle se ridiculiserait, elle le sait pertinemment, que à peine arrivée sur le tapis elle trouverait le moyen de tomber.
Elle est aussi une fille très prudente, dans le genre prudence réfléchie. Avant de se lançer dans quoi que ce soit, elle analyse la situation sous tout les angles, il lui arrive même d’en inventer si ce qu’elle doit entreprendre ne lui plaît pas forcément…Mais alors c’est très paradoxal d’apprendre que son meilleur ami est un loup garou et son petit ami ou ex petit ami prenez le comme vous le voulez est un vampire. Tout ceci est très simple à comprendre, elle n’a pas conscience réellement du danger ? Peut être au début d’accord, mais après ? Après tout simplement elle a dans la conviction que deux êtres qui l’aiment ne peuvent pas lui faire du mal, du moins physiquement. C’est ça son problème, elle pense que si elle aime une personne, et lui fait confiance, la personne ne peut pas trahir sa confiance, c’est vrai quoi, quand on aime, pourquoi faire souffrir ?

Si vous donnez un bon livre à Bella ou une occupation digne d’elle, elle ne risque pas de venir se joindre à votre grand groupe d’amis, car chez elle, la solitude n’est pas dérangeante, plutôt préférable même. Très préférable. Pourtant si quelqu’un se trouve avoir besoin d’elle, tout de suite, elle n’hésite pas à arrêter tout ce qu’elle fait pour aider ses semblables. Et malgré le fait qu’elle soit très introvertie, elle peut avoir des amis très facilement, parce qu’avec un visage d’ange pareil et une gentillesse comme ça, vous ne pouvez que être aimé.
Et si il y a bien une chose qu’elle déteste c’est décevoir les gens qu’elle aime, les faire souffrir ou même au pire se dérober à une promesse qu’elle a faite. Bella a aussi cette manière de toujours penser tout bas, elle est capable de se faire de longs monologues sans penser que à l’exterieur elle peut inquiéter ses proches, par quand elle est dans la lune, les yeux fixés par-dessus les autres, plus rien ne l’arrête. Jusqu’à que enfin elle est finie, elle reprendre la conversation là où elle l’avait laissé et continue comme si de rien n’était.

Défaut dominant: Elle est très maladroite, trop même.

Qualité dominante: Son sens du sacrifice

• Histoire

At first :

« Doutez que les étoiles ne soient de flamme
Doutez que le soleil n'accomplisse son tour
Doutez que la vérité soit menteuse infâme
Mais ne doutez jamais de mon amour »

« Oh mais mon dieu qu’elle est belle ! Gouzi Gouza ! »

Voilà qu’à trois heures du matin, Isabella Mary Swan avait montré le bout de son nez, en torturant sa mère autant qu’il était permis de le faire. Mais elle était là, devant les yeux de ses parents, endormie, et on aurait dit que rien, ni personne ne pourrait jamais leur éclater cette petite bulle. Et pourtant…Six mois après Renée se sépara de son « bien aimé » Valise en main, alors qu’il était devant la porte elle dit juste : Laisse moi passer Charlie. Et c’est ce qu’il fit...
Le reste de l’enfance de Bella fut assez facile, si on peut dire les choses ainsi, même si parfois elle devrait freiner les ardeurs de sa propre mère, téméraire, chose qu’elle n’avait pas hérité d’elle, non elle était plus comme son père, introvertie, solitaire, même si ils avaient à tous un point commun : la gentillesse hors normes. Bella grandit donc, mais sa mère décida un jour qu’il était temps de partir de la Californie, elles s’installèrent à Phoenix, dans l’Arizona, toujours une plus grande ville, ce qui n’était pas pour déplaire à la jeune fille. Elle aimait ça, les trous perdus très peu pour elle.

[…]

Et sa mère fit la rencontre de Phil, un bon joueur de base ball, passioné par son métier, mais néanmoins très amoureux de la mère de Bella, il fallait faire un choix,et Renée choisit de le suivre dans ses déplacements, Bella, refusant de les suivre partout où ils iraient et d’être un fardeau pour sa mère, la pile électrique, elle partit dans la ville de son père : Forks, un endroit ou tout n’est que verdure, verdure et devinez quoi ? Verdure. Verdure quasiment toujours mouillée à cause de la gentille pluie qui s’infiltre dans vos cols et vous donne un joli rhume. Autrement dit, entre la ville et Bella s’était mal parti. Au début.
Tout d’abord, elle se fit rapidement ce qu’on peut appeler des amis, un jeune garçon, Mike, craqua même pour elle. Et même si tout le monde l’aimait bien, Angela resta de loin sa seule véritable amie. Et puis Bella rencontra Edward. Le lion s’éprit de l’agneau tout simplement. Leur première rencontre fut une rencontre des plus banales. A la cantine, le clan Cullen, réuni au complet à leur table, explication vite fait de Jessica, sèche sur les bords, elle a du sûrement tenter le coup avec l’un d’entre eux. Et Bella a une idée toute faite, les autres sont beaux certes, ces deux filles magnifiques, et ce blond puis ce robuste jeune homme aussi. Mais ce n’est pas eux qui sont le centre de toute l’attention de Bella. Non celui qui l’intéresse au plus haut point c’est le dernier, il l’a fixé, elle en est sûr. Elle apprend vite son nom : Edward Cullen. Et désormais il n’y a plus que lui. Elle est obnubilée par cet homme au teint si pâle, aux cernes si lourdes.
Et sans même s’en rendre compte, elle tombe amoureuse de lui, bien sûr il va y avoir des complications, tel Roméo et Juliette, il existe des amours impossibles. Mais Bella n’en démord pas, elle sait qu’il l’a vu, elle ne veut pas juste qu’il soit un ami. Pas celui qui l’a rattrape quand elle tombe. Non elle a besoin de plus. Et elle le trouve si…étrange. Alors elle se met à faire des recherches, auprès de La Push, et Jacob Black la renseigne, lui donne juste ce qu’elle veut entendre. Edward Cullen n’est pas humain…Et personne ne pourra lui faire dire le contraire. Si bien qu’il conçoit à avouer, oh bien sur sans dire : je suis un vampire. Non juste en la prenant sur son dos et en courant vite, très vite, plus vite qu’une voiture, qu’un cheval. Et dans cette clairière, elle lui demanda : « Quel âge tu as ? » et il répondit : «17 ans» «Depuis combien de temps ?»

[…]

C’est ainsi que commença l’histoire d’amour folle mais indestructible et magnifique de Edward et Isabella. Bien sûr, il s’appliquait à réfréner ses ardeurs, de peur de lui faire du mal. Tout semblait aller pour le mieux. Jusqu’à son anniversaire, que Alice avait tenu à organiser, personnellement. Un anniversaire qui promettait d’être le meilleur, et même si Bella détestait ça, elle s’était prêtait au jeu. Comme d’habitude, elle avait fait passer ses envies en dernier, et ce fut un fiasco au moment où elle ouvrit un des cadeaux, dans sa maladresse habituelle, elle s’entailla le doigt, libérant les instincts de tout les membres de la famille, mais un en particulier ne put se contrôler.
Ce soir là, Jasper manqua de la tuer, et c’est ce soir là que Edward prit la décision que si Bella restait avait lui, il en allait de sa vie, et il ne voulait pas être celui qui arrêterait son cœur, qui ferait taire son souffle à tout jamais. Le lendemain, il lui annonça, Bella avait senti que quelque chose n’allait pas, mais elle ne s’était pas attendu à ça, ça non. Après son départ, quelque chose s’était déchiré en elle, un trou béant, d’où s’écoulait toute la souffrance et le sang de la terre était à présent dans sa poitrine. Sam la retrouva dans la forêt, perdue, plus que jamais, comme un enfant qui ne sait plus qui il est, qui a perdu ce qu’il aimait le plus au monde, et qui ne peut pas continuer à marcher. Mais qui, même mort de l’intérieur, vit en apparence. Immobile et terne, invisible et endolori. Mais qui est là. Elle resta ainsi des mois durant. Et son père, en ayant assez de voir sa fille ainsi se décida à réagir.

Bella eut l’idée de revoir Jacob, c’était une bonne idée, elle essayerait de se reconstruire, même si elle savait cela impossible. Et pourtant elle réussit à sourire avec lui, une mince pellicule de joie s’était infiltré en elle. Si fine que dès qu’elle revenait chez elle, Bella n’était plus heureuse. Jacob était quand même la seule lumière dans son chemin obscur et sans avenir. Il devint alors son meilleur ami. Et Angela fut aussi une amie excellente, sachant très bien que si Bella s’était absenté il n(y avait pas de questions à poser. Peut être qu’un jour, Bella se lèvera sans souffrir… ?

« Oui le lion s’était épris de l’agneau.
Et il ne le mangea pas, ne le tua pas.
Mais le jeta dans la savane, et le laissa seul.
Que doit dire l’agneau ? Rien…L’agneau attendra, et advienne que pourra. »

Anecdote(s) de l'adolescence :

«Pourquoi faut-il que l'amour qui est si doux d'aspect, mis à l'épreuve, soit si tyrannique et si brutal ?»

«- Ces rougeurs sont magnifiques... Ne bouge pas.»

Pas de danger…J'étais pétrifiée. Posément, sans jamais me quitter des yeux, il se pencha vers moi. Puis il appuya sa joue glacée contre la courbe de ma gorge. J'étais complètement immobile. Je l'entendis reprendre son souffle, mais il ne s'interrompit pas, et ses doigts légers descendirent sur mes épaules avant de s'arrêter. Son visage se faufila sur le coté, son nez frôla ma clavicule et, enfin, il enfouit sa tète dans ma poitrine, bouleversant de tendresse.

«- Ah...»

Je ne sais pas combien de temps nous restâmes immobile. Ca me parut des heures. Je devinai que, a tout instant, l'effort risquait de se révéler trop éprouvant, et que ma vie pouvait se terminer - si vite que je ne m'en rendrait même pas compte. Puis, trop tôt a mon gout, il me relâcha. Ses yeux étaient paisibles.

« - Ça ne sera plus aussi dur, Bella.
- Est-ce que ça l'a été?
- Pas autant que je l'aurais cru. Et pour toi ?
- Non. Pour moi... non.»

[…]

«- Tiens. Tu sens comme elle s'est réchauffée ? »

Sa peau extraordinairement gelée était presque tiède, en effet. Je m'y intéressai cependant a peine, car j'étais en train de toucher son visage, quelque chose dont j'avais rêvé depuis notre rencontre.

«- Reste tranquille.»

Personne ne savait se figer comme lui. Je partais a sa découverte. Doucement, je caressai ses paupières, le tracé de son nez parfait, de ses lèvres au dessin magnifique. Elles s’entrouvrirent, et je sentis son haleine fraiche sur le bout de mes doigts. J'avais envie de me pencher et d'inhaler son arôme. Aussi je retirai ma main et reculai, soucieuse de dépasser les limites…

• Hors Jeu

Personnalité de l'avatar : Kristen Stewart

Nom : Miranda

Comment avez-vous connu le forum : Il est inscrit sur un des tops sites de mon forum.

Commentaires ? : Oui, j’adore le forum, Pis j’adore la bannière, c’est ce qui m’a le plus attiré, c’est le genre de forum qui fait propre et c’est très agréable.

Code :

Spoiler:

Anecdote(s) de la vie actuelle :
« Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m'en mêlerai plus. Ce sera comme si je n'avais jamais existé. »

Il avait prononcé ces mots avec un détachement qui n’avait pas sa place ici et maintenant. Il l’avait à peine regardé. Comme si…elle n’était rien, comme si il ne lui avait jamais dit qu’il l’aimait. Comme si elle n’était qu’une humaine vulgaire et sans valeur. Et à y penser, c’est ce qu’elle était, mais pas pour lui, non ça n’avait pas été ça, il lui avait donné de la valeur. Il ne pouvait pas…La laisser là. Et pourtant. C’est ce qu’il faisait. Il lâcha sa main, aussi doucement qu’il pouvait le faire, mais ce fut pour Bella comme si on lui coupait une deuxième fois un cordon ombilical. Sauf qu’elle ne sortait pas de sa bulle, elle était encore à dépendre de lui, et si il coupait tout, qu’adviendrait t’il d’elle ?

[...]

Il l’embrassa furtivement sur le front et partit. Inutilement, Bella courut, pour se raccrocher à lui, parce qu’il le fallait, faire au moins cette effort, et se dire, se dire que ce n’est pas fini, vouloir espérer encore un peu. Mais il avait disparu, et Bella était dans le néant, en plein dans son cœur, sans savoir quoi faire, que dire. Alors elle couru, s’enfonçant un peu plus chaque seconde dans la forêt, tissant un peu plus une toile, une bulle qui la maintiendrait écartée des autres, du monde et surtout de la douleur. Mais elle n’était pas encore tout à fait au point. Il y avait des failles pour l’instant à cette bulle, et elle sentit la douleur du point du côté, elle sentit la douleur dans sa poitrine, une douleur fulgurante, comme un trou béant, d’où s’échapperait tout le bonheur et rentrerait des courants d’airs violents et pervers.

Elle finit par s’arrêter, tremblante, frissonnante, endolorie, se posa, sous un buisson ou quelque chose qui lui ressemblait. Et elle tomba définitivement au sol, mouillant ses genoux, ses mains, elle n’arrivait plus à voir, à sentir, exceptée cette douleur. Et elle se roula dans la position du fœtus, les genoux ramenés jusqu’à la poitrine, pour essayer de cacher ce trou. En mettant quelques morceaux de journal dessus. Mais au moindre coup de vent, les morceaux de journaux s’en iraient, disparaitraient, emportés par la tempête, auparavant brise tranquille.

Isabella Swan était morte ce soir là.